Pour vendre une voiture d’occasion, les concessionnaires sont tenus de respecter une variété de lois étatiques pour s’assurer que le processus est légal et qu’ils fournissent une divulgation complète. Les particuliers qui cherchent à vendre une voiture n’ont pas à se conformer aux mêmes lois que les concessionnaires, à moins qu’ils ne souhaitent en devenir un. Toutefois, selon le pays dans lequel vous vivez, il y a certaines lois à connaître. Elles ne s’appliquent peut-être pas toutes à votre situation, mais être au courant des lois est utile pour pouvoir effectuer une transaction honnête.
4 lois à connaître
Les 4 lois suivantes s’appliquent aux particuliers comme aux concessionnaires. Les concessionnaires de voitures d’occasion sont soumis à d’autres réglementations, mais pour le vendeur moyen d’une voiture d’occasion, celles-ci ne s’appliquent pas.
Les lois étatiques sur le citron : Tous les pays ne considèrent pas comme une infraction légale le fait de vendre sciemment une voiture présentant des problèmes sans les divulguer, mais certains le font. En pratique, lorsque vous vendez votre voiture d’occasion à un nouvel acheteur, vous voulez obtenir le prix le plus élevé possible. Toutefois, si vous savez que la voiture présente un problème et que vous ne le divulguez pas, vous risquez d’enfreindre involontairement la loi. L’acheteur doit prendre garde lorsqu’il achète une voiture d’occasion à un particulier, mais le vendeur doit agir conformément à la réglementation en vigueur. Vérifiez donc bien vos obligations !
Les lois sur les titres de voiture : lorsqu’une voiture d’occasion est échangée entre des parties privées, la loi exige que le titre de la voiture soit également échangé. Cet acte transfère la propriété légale du véhicule aux yeux de l’État. Les vendeurs doivent apposer leur signature au dos du titre avant de le remettre au nouveau propriétaire de la voiture. Les acheteurs disposent généralement de 30 jours pour modifier la carte grise. Bien sûr, en tant que vendeur, vous n’êtes pas responsable des actions de l’acheteur après avoir effectué la vente, mais si le titre n’est jamais échangé et que la voiture est impliquée dans un accident ou un crime, les enquêteurs pourraient venir frapper à votre porte (envie d’acheter aux enchères ? Alcopa ).
Licence de concessionnaire : comme nous l’avons déjà mentionné, les vendeurs individuels ne sont pas liés aux mêmes lois et règlements que les concessionnaires. Toutefois, si un vendeur individuel a pour pratique de vendre des voitures d’occasion qu’il acquiert à titre privé, il est de facto un concessionnaire et doit légalement obtenir une licence. Une pratique illégale est connue sous le nom de curbstoning, dans laquelle des particuliers vendent des voitures qui ne se trouvent pas sur le terrain d’un concessionnaire. Les vendeurs peuvent agir ainsi pour éviter d’obtenir la licence nécessaire pour vendre des voitures d’occasion. La vente d’une seule voiture est parfaitement légale. Vendre voiture après voiture nécessite une licence.
La facture de vente : il se peut que ce ne soit pas une nécessité légale, mais fournir une facture de vente ou un reçu à l’acheteur de votre véhicule est une bonne pratique. Il est sage de le faire parce que cela donne à la fois à vous et à l’acheteur une trace de la transaction. Il peut littéralement s’agir d’un document Word imprimé indiquant la date de la vente, le prix convenu, le VIN et les noms des personnes impliquées.
Avant de tenter de vendre votre voiture d’occasion, familiarisez-vous avec les lois qui peuvent s’appliquer à votre situation selon votre pays. Vous n’êtes pas lié aux mêmes règles que les concessionnaires, mais vous pouvez tout de même être tenu de suivre des directives spécifiques.