4 conseils pour vendre une voiture à fort kilométrage Les acheteurs ont tendance à se tenir à l’écart des véhicules à fort kilométrage, ce qui complique la tâche lorsque vous souhaitez vendre une voiture que vous avez beaucoup utilisée. Il existe quelques moyens d’optimiser la vente d’une voiture ou d’un camion à fort kilométrage. Ces astuces sont utilisées par les vendeurs pour compenser l’âge sur un odomètre.1. Utiliser les estimations du constructeur Un kilométrage élevé peut être trompeur, surtout pour certaines des berlines les plus populaires du marché comme les modèles Toyota et Honda. Bien que les acheteurs puissent être réticents à l’idée d’acheter une voiture ayant plus de 161 000 kilomètres, ces voitures sont connues pour avoir 320 000 kilomètres et plus, ce qui rend un investissement à fort kilométrage très raisonnable. Faites-le remarquer au moment de la vente pour susciter l’intérêt des acheteurs. 2. Caractéristiques Focus sur les caractéristiques spéciales. Si le véhicule dispose de la climatisation, de systèmes audio et d’autres extras qui ajouteront plus de commodité, utilisez-les à votre avantage. 3. Conditions Montrez que l’extérieur ou l’intérieur de votre véhicule est en bon état. Vous pouvez cibler cette clientèle avec des photos dans les annonces en ligne. 4. Faibles coûts associés Un autre gros avantage à présenter pour vendre des véhicules à fort kilométrage est que les clients spécifiques recherchent le coût global le plus bas. Un véhicule de modèle plus ancien s’accompagne d’une prime d’assurance moins élevée en raison de sa valeur. Certains acheteurs sont également intéressés par les véhicules qui ont des besoins d’entretien plus simples et moins coûteux. 4 lois à connaître lorsque vous vendez une voiture !

Sommaire

 

Pour vendre une voiture d’occasion, les concessionnaires sont tenus de respecter une variété de lois étatiques pour s’assurer que le processus est légal et qu’ils fournissent une divulgation complète. Les particuliers qui cherchent à vendre une voiture n’ont pas à se conformer aux mêmes lois que les concessionnaires, à moins qu’ils ne souhaitent en devenir un. Toutefois, selon le pays dans lequel vous vivez, il y a certaines lois à connaître. Elles ne s’appliquent peut-être pas toutes à votre situation, mais être au courant des lois est utile pour pouvoir effectuer une transaction honnête.

 

4 lois à connaître 
 

Les 4 lois suivantes s’appliquent aux particuliers comme aux concessionnaires. Les concessionnaires de voitures d’occasion sont soumis à d’autres réglementations, mais pour le vendeur moyen d’une voiture d’occasion, celles-ci ne s’appliquent pas.

Les lois étatiques sur le citron : Tous les pays ne considèrent pas comme une infraction légale le fait de vendre sciemment une voiture présentant des problèmes sans les divulguer, mais certains le font. En pratique, lorsque vous vendez votre voiture d’occasion à un nouvel acheteur, vous voulez obtenir le prix le plus élevé possible. Toutefois, si vous savez que la voiture présente un problème et que vous ne le divulguez pas, vous risquez d’enfreindre involontairement la loi. L’acheteur doit prendre garde lorsqu’il achète une voiture d’occasion à un particulier, mais le vendeur doit agir conformément à la réglementation en vigueur. Vérifiez donc bien vos obligations !

 

Les lois sur les titres de voiture : lorsqu’une voiture d’occasion est échangée entre des parties privées, la loi exige que le titre de la voiture soit également échangé. Cet acte transfère la propriété légale du véhicule aux yeux de l’État. Les vendeurs doivent apposer leur signature au dos du titre avant de le remettre au nouveau propriétaire de la voiture. Les acheteurs disposent généralement de 30 jours pour modifier la carte grise. Bien sûr, en tant que vendeur, vous n’êtes pas responsable des actions de l’acheteur après avoir effectué la vente, mais si le titre n’est jamais échangé et que la voiture est impliquée dans un accident ou un crime, les enquêteurs pourraient venir frapper à votre porte (envie d’acheter aux enchères ? Alcopa ).

 

Licence de concessionnaire : comme nous l’avons déjà mentionné, les vendeurs individuels ne sont pas liés aux mêmes lois et règlements que les concessionnaires. Toutefois, si un vendeur individuel a pour pratique de vendre des voitures d’occasion qu’il acquiert à titre privé, il est de facto un concessionnaire et doit légalement obtenir une licence. Une pratique illégale est connue sous le nom de curbstoning, dans laquelle des particuliers vendent des voitures qui ne se trouvent pas sur le terrain d’un concessionnaire. Les vendeurs peuvent agir ainsi pour éviter d’obtenir la licence nécessaire pour vendre des voitures d’occasion. La vente d’une seule voiture est parfaitement légale. Vendre voiture après voiture nécessite une licence.

 

La facture de vente : il se peut que ce ne soit pas une nécessité légale, mais fournir une facture de vente ou un reçu à l’acheteur de votre véhicule est une bonne pratique. Il est sage de le faire parce que cela donne à la fois à vous et à l’acheteur une trace de la transaction. Il peut littéralement s’agir d’un document Word imprimé indiquant la date de la vente, le prix convenu, le VIN et les noms des personnes impliquées.

 

Avant de tenter de vendre votre voiture d’occasion, familiarisez-vous avec les lois qui peuvent s’appliquer à votre situation selon votre pays. Vous n’êtes pas lié aux mêmes règles que les concessionnaires, mais vous pouvez tout de même être tenu de suivre des directives spécifiques.